La solidarité, est-elle une option face aux catastrophes naturelles?

La solidarité, est-elle une option face aux catastrophes naturelles? 


Aujourd’hui, les catastrophes naturelles sont de plus en plus présentes dans notre vie quotidienne. « Inondations, tempêtes, tremblements de terre, tsunamis, éruptions volcanique, cyclones, mouvements de terrains… »

Les pays du Sud, «les pays les moins développés», sont généralement les plus touchés par les catastrophes naturelles que les pays du Nord, «les pays les plus développés».

Malheureusement, la population le vit différemment. En regardant ou en lisant les actualités, d’autres les subissent, et certains prennent de grandes décisions pour aider.        Et une question se pose: «L’aide des états Européens aux pays victimes de catastrophes naturelles est-elle efficace aujourd’hui ?»

Dans un premier temps, nous allons voir les dispositifs Européens mis en place pour aider les pays victimes de catastrophes naturelles. Ensuite, nous parlerons des fonds d’argents Européens mis en place comparés aux autres continents. Et pour finir, nous mettrons en relation, les catastrophes naturelles avec les changements climatiques.


1. Les dispositifs Européens mis en place

Dans cette partie, nous parlerons des dispositifs mis en place par la Commission Européenne, ensuite le B-FAST qui est un dispositif Belge. Plus tard des secours Français, plus particulièrement des pompiers humanitaire, et pour finir des ONG.

Depuis l’an 2000, les dispositifs de sécurité et d’urgence se sont intensifiés. En 2001, l’Europe avait mis en place le  » Mécanisme de protection civile de l’UE « .  Celui-ci fut fondé par un système volontaire des États Européens. Auquel participent selon leurs possibilités les 28 États membres ainsi que la Macédoine, l’Islande, le Monténégro, la Norvège, la Serbie et la Turquie.  Les offres d’assistance sont coordonnées par le Centre européen de coordination de la réaction d’urgence, basé à Bruxelles.

D’après Patricia Jolly, journaliste au Monde : «L’Europe a reçu près de 300 demandes d’aides, émanant le plus souvent de pays européens. Mais le dispositif est aussi appelé à la rescousse dans d’autres régions du monde.»

Cependant, suite à de nombreuses interventions, ce mécanisme de protection civile de l’Union Européenne, n’est plus suffisant à la demande des pays.  2017 a été une année record avec dix-huit activations du dispositif pour diverses catastrophes naturelles. Saturé, celui-ci n’a pu apporter qu’à dix reprises une aide que se sont partagée le Portugal, l’Italie, le Monténégro, la France et l’Albanie.

De plus l’augmentation d’incendies en Europe du Sud, qui n’est plus circonscrit.

C’est alors que en 2018, la Commission européenne a élaboré le projet du système dit « RescEU ».

a. Le Dispositif RescUE

Le dispositif RescUE à été mis en place par la Commission Européenne en 2018. Il comportera une réserve de nouvelles capacités de protection civile gérées par l’Union Européenne, telles que des avions pompiers, des pompes à eau haute pression, des hôpitaux de recherche et de sauvetage en milieu urbain.
Il sera 100% financé par l’Union Européenne.                                                                                  Ainsi qu’à renforcer les capacités nationales: financement de l’Union Européenne pour
l’adaptation, la réparation, le transport et l’exploitation des
coûts des ressources existantes des États membres.
Ces atouts feraient partie d’un partage de ressources d’intervention d’urgence sous
européen de protection civile, et serait mis à disposition pour le déploiement lorsque les catastrophes ont lieu.  il sera à 75% financé par l’Union Européenne

.

Commission Européenne
Image libre de droit provenant de https://pixabay.com

« Il s’agit d’une capacité d’intervention européenne supplémentaire qui ne se substituerait pas aux services de protection civile nationaux », précise M. Martin Ruiz de Gordejuela représentant de la commission européenne.

Il a pour but aussi de soutenir la prévention et la préparation au niveau national: il est demandé aux États membres de partager des stratégies nationales de prévention avec la Commission Européenne et fournir des orientations. Ainsi que d’éliminer les failles éventuelles.

b. Le B-FAST

En l’année 1999, après de forts tremblements de terre en Turquie. La Belgique a envoyé des secours à leur demande d’aide. Malgré leur venue, ce plan de secours n’a pas été satisfaisant. Suite à cette mauvaise expérience, le gouvernement Belge s’est réuni afin de disposer d’une nouvelle aide d’urgence. Cette aide d’urgence fut appelé B-FAST*, et est définitivement mis en place le 28 Février 2003. D’un arrêté royal portant « création d’un conseil de coordination pour l’aide d’urgence à l’étranger en cas de catastrophe ou de calamité et d’un service permanent de soutien».

Les secours belges doivent être mobilisés dans les 12 heures qui suivent la décision d’intervention et les opérations sont prévues pour une période de dix jours au maximum.  Et la création d’une structure destinée à assurer une intervention rapide et adéquate consistant à envoyer des équipes d’aide d’urgence et du matériel humanitaire vers des pays tiers qui seraient touchés par un désastre d’origine naturelle

B-FAST*: Belgian First Aid and Support Team

c. Les secours humanitaires français

Le GSCF sont des pompiers à vocation humanitaire en France. Ceux-ci sont spécialistes du déblaiement-sauvetage. Le déblaiement-sauvetage consiste à rechercher des personnes suite à des catastrophes naturelles sous des décombres.                                                                 Le GSCF a rapidement obtenue un partenariat  avec les équipes de secours indonésiennes, il y’a maintenant 10 ans. Celui-ci est certifié par L’insarag. Suite à cette certification, ces pompiers humanitaires sont facilement mobilisable et cela très rapidement. Et un partage de connaissances envers les équipes Indonésienne afin de mieux optimiser le déblaiement-sauvetage lors de réels crises.

« plusieurs équipes indonésiennes sont venues dans notre centre pour un partage des connaissances et des exercices de simulation de catastrophe », raconte Nathalie Buisson, chargée de projet au sein des Pompiers de l’urgence internationale.

d. Et les ONG, dans tout ça? 

Les ONG (Organisation Non Gouvernementale), sont des organisations qui ne dépendent pas du gouvernement. Il est essentiellement financé par des dons privés. Et se consacrent à l’aide humanitaire ou non.

l’ONG Architectes de l’urgence, est une fondation d’utilité publique. Celle-reconstruit des bâtiments après les catastrophes naturelles afin de reloger les familles.

« Ce sont beaucoup de maisons anciennes qui se sont effondrées» d’après Patrick Coulombel  président et directeur de l’ONG Architectes de l’urgence.

Afin de limiter les catastrophes liés aux bâtiments, il y a eu des progrès architecturaux.        A présent, les pays bâtissent des immeubles en acier et en béton, souples et indestructibles. Normalement une maison construit en France qui subit un séisme de magnitude 6, peut s’en sortir avec de simple fissures.

Bâtiments effondrés suite à un séisme
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De plus, cette ONG peut protéger les anciens bâtiments en renforçant les angles, et création de poteau, et au mieux stabiliser le sol.


Les fonds d’argent Européens, et le reste du monde

Nous avons vu en première partie les dispositifs Européens mis en place pour l’aide des pays victimes de catastrophes naturelles soit: le dispositif RescUE, le B-FAST, une ONG architectes de l’urgence et les pompiers humanitaire français. Maintenant, nous allons voir les financements Européens envers ces catastrophes. Ainsi que comparer leur financement au reste du monde. Soit plus particulièrement les États-Unis. Et par la suite, analyser le cas de la France qui aide financièrement ses propres régions sinistrés.

a. Qui donne quoi?

D’après l’infographie de Laure DUBESSET-CHATELAIN et Hugues PIOLET, les États-Unis sont les premiers donateurs aux pays victimes de catastrophes naturelles. Ce don s’équivaut a 6000 millions de dollars. Soit une hausse de 25% de 2013 à 2014. Les pays d’Europe sont bien en dessous. Le Royaume-Uni est à 2300 millions de dollars. Et les autres pays d’Europe sont en dessous de 1200 milliards d’euros d’aides. De plus que la Belgique, et  l’Espagne diminuent leurs aides de 3 à 6% de 2013 à 2014. Mais les pays qui progressent le plus sont les états du golfe. Pour les Emirats A.U. une progression de 317%.

Au total en 2014, plus de 24 milliards de dollars ont été versés pour les pays victimes de catastrophes naturelles dans le monde entier. En comptant les gouvernements ainsi que les ONG, fondations, et associations.

Hommes et femmes recouvert de drapeaux du monde afin de montrer la solidarité entre pays
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Cependant, l’Europe reste le premier pourvoyeur d’aides humanitaires dans le monde. Avec 1 milliard d’euros d’aides au profit de 150 millions de personnes dans plus de 80 pays en 2011.

b. La France solidaire, avec soi-même

Suite à l’ouragan MARIA, qui à touché la Guadeloupe, la Martinique et Saint Martin en septembre 2017. Il y’a de nombreux désastres.

Après le passage d’un ouragan
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D’après la ministre des outre-mer, Annick Girardin, «les dégâts causés ont pour un montant estimé à 2 milliards d’euros.»

En France, il y’a le FCTVA. Il a pour principe de verser aux collectivités territoriales une compensation, à un taux forfaitaire, de la charge de TVA qu’ils supportent sur leurs dépenses réelles d’investissement et qu’ils ne peuvent pas récupérer par la voie fiscale.

Suite a de nombreux dégâts en Guadeloupe, Martinique et Saint Martin. L’État offre à ses régions victimes de catastrophes naturelles le droit d’avoir cette compensation plus rapidement que les années précédentes. C’est à dire l’année même des dépenses. En temps normal, celle-ci est versé 2 ans après les dépenses. Malgré cette aide, les fonds Européens seront essentiel à leur reconstruction.

FCTVA*:Fonds de compensation de la taxe sur la valeur ajoutée

c. Une Europe solidaire pour ses membres

En 2017, il s’est déroulé plusieurs catastrophes naturelles dans les États membres de l’Europe: la Bulgarie, la Grèce, la Lituanie et la Pologne.

L’Europe dispose du FSUE, le fond de solidarité de l’union Européenne. Celui-ci a été mis en place dans le but de faire face aux grandes catastrophes naturelles et d’exprimer la solidarité de l’Union Européenne à l’égard des régions sinistrées. Il a été créé en réponse aux graves inondations qui ont touché l’Europe centrale durant l’été 2002. Depuis, il est intervenu dans 80 cas de catastrophes naturelles, parmi lesquels des inondations, des incendies de forêts, des tremblements de terre, des tempêtes et la sécheresse. À ce jour, 24 pays européens en ont bénéficié pour un montant de plus de 5 milliards d’euros.

C’est alors que l’année 2017, l’Europe a déployé son fond de solidarité de 34 millions d’euros. Afin d’aider les pays membres sinistrés.

Photo de Corina Cretu, commissaire chargée de la politique régionale
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Mme Corina Crețu, commissaire chargée de la politique régionale, a déclaré à ce propos: «Avec nos nouvelles propositions d’aide financière en faveur de la Bulgarie, la Grèce, la Lituanie et la Pologne, nous passons des mots aux actions concrètes de soutien. La solidarité est l’un des principes fondateurs de notre Union et le Fonds de solidarité de l’UE est l’une de ses expressions les plus tangibles.»

Ce fond de solidarité sera exploité afin de reconstruire les pays et de couvrir les frais déployés durant les catastrophes.


Changements climatiques= Catastrophes naturelles?

Après avoir parlé de l’aspect financier des aides humanitaires lors de catastrophes naturelles. Nous allons en dernière partie, parler des changements climatiques qui influence les catastrophes naturelles. A ce jour, à cause du réchauffement climatique, il en résulte de nombreux aléas climatiques.  Dans les zones les plus humides, pluies et inondations se multiplient tandis que des tempêtes se forment au-dessus des océans réchauffés. Alors, les catastrophes naturelles sont elles toujours aussi naturelles?

Inondation
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D’après les Nations Unis:« 9 catastrophes sur 10 sont maintenant liés aux changements climatiques»

Ceci n’est alors donc pas à prendre à la légère. De plus les pays les plus touchés seront les pays en zone côtière et en zone tropicale. Les émissions de gaz à effets de serre sont les responsables. Mais alors, quels mesures sont prises sur le réchauffement climatiques?

Du 2 au 14 Décembre 2018 s’est produit la 24ème conférence sur le climat en Pologne à Katowice(COP24).

Afin de lutter contre les changements climatiques. La Banque Mondiale a doublé son investissement pour son plan de 2021-2025. En plus de l’aide doublé par la Banque Mondiale. Les pays développés* s’engagent à donner 100 milliards de dollars par an. A partir de 2020. Ce financement se consacre à réduire les émissions de gaz à effet de serre. Et de l’adaptation à ces changements. En construisant des digues, surélever des habitats ou mettre en place des systèmes d’alerte météo.

« Même si nous pouvons limiter le réchauffement à + 2 °C, nous savons que les besoins d’adaptation seront très importants dans des pays comme le Tchad, le Mozambique et le Bangladesh », a noté John Roome, dirigeant des activités relatives au changement climatique du Groupe de la Banque mondiale.. « Si nous ne réduisons pas les émissions et ne mettons pas en place des mesures d’adaptation maintenant, il y aura 100 millions de personnes supplémentaires vivant dans la pauvreté d’ici à 2030 », a-t-il insisté.

Les pays développés*: Les pays développés sont pour la plupart situé dans le nord. Ils sont le plus souvent des pays industrialisés, avec des avancés économiques, et technologiques. Leurs habitants ont le droit le plus souvent aux soins et à l’éducation facile. La richesse d’un pays développé se fait par le PIB, ou la richesse par habitants.


Pour finir

L’aide des États Européens n’était pas satisfaisante le siècle dernier. Depuis l’an 2000, il y a eu de nombreuses créations de dispositifs. Tel que RescUE par la Commission Européenne, et le B-FAST par les belges. Malgré ces dispositifs, les secours ainsi que les ONG sont aussi très importants dans l’aide humanitaire suite aux catastrophes naturelles. L’un complète l’autre. Mais alors les dispositifs Européens et de leurs États membres ne sont donc pas assez solides afin d’aider un pays entier. Malgré ceux-ci l’Europe est très importante financièrement sur le plan de l’aide humanitaire. Cependant, celle-ci se fait rattraper par les États-Unis et les États du golfe qui s’enrichissent. Nous avons aussi remarqué que les catastrophes naturelles sont amplifiés par le réchauffement climatique. La banque mondiale et les pays développés ont élaborés un plan financier durant la COP24 afin de se préparer aux changements climatiques. Mais ce plan financier aurait été plus bénéfique avant que ces changements bouleversent notre climat pour toujours.

 

Bibliographie

  1. Article de l’AFP* dans le journal le Monde https://www.lemonde.fr.                                Publié le 3 Décembre 2018 à 7h15.                                                                                        ‘’COP24: La banque mondiale double son investissement pour le climat ‘’                         https://www.lemonde.fr/climat/article/2018/12/03/cop-24-la-banque-mondiale-double-son-investissement-pour-le-climat_5391752_1652612.html 

2. Article de l’AFP* dans le journal le Monde https://www.lemonde.fr.                                        Publié le  le 28 décembre 2017 à 12h31 ‘’ Ouragan Maria: Les communes touchées pourront bénéficier d’un délai réduit pour obtenir des compensations ‘’                                     https://www.lemonde.fr/societe/article/2017/12/28/ouragan-irma-les-communes-touchees-pourront-beneficier-d-un-delai-reduit-pour-obtenir-des-compensations_5235279_3224.html?xtmc=ouragan_maria_les_communes_touchees_pourront_beneficier_d_un_delai_reduit_pour_obtenir_des_compensations&xtcr=1 

3. Article de la commission européenne, https://ec.europa.eu/luxembourg/about-us_fr,  Publié le 31/05/2018 ‘’ La solidarité à l’œuvre dans l’Union européenne: la Commission apporte une aide financière à la Bulgarie, la Grèce, la Lituanie et la Pologne à la suite de catastrophes naturelles ‘’  https://ec.europa.eu/regional_policy/fr/newsroom/news/2018/05/31-05-2018-eu-solidarity-at-work-commission-offers-financial-aid-to-greece-poland-lithuania-and-bulgaria-following-natural         

4. Article de la commission européenne, https://ec.europa.eu/luxembourg/about-us_fr  Publié le 23/11/2017.                                                                                                                  ‘’ rescUE: nouveau système UE de lutte contre les catastrophes naturelles’’                   https://ec.europa.eu/commission/news/resceu-new-european-system-tackle-natural-disasters-2017-nov-23-0_fr         

5. Article de Laure Dubesset-Chatelain et Hugues Piolet. Revue GEO numéro 438, Publié en 08/2015,  ‘’ Aide humanitaire: Qui donne a qui?’’     

6. Article de Martine Valo, dans le journal LE MONDE https://www.lemonde.fr        Publié le 26 août 2016 à 12h16, ‘’Séisme en Italie : « On peut créer des bâtiments qui  bougent mais ne tombent pas »’’                                                                                                          https://www.lemonde.fr/planete/article/2016/08/26/seisme-en-italie-on-est-capable-de-creer-des-batiments-qui-bougent-mais-ne-tombent-pas_4988387_3244.html 

7. Article de Nicole GNESOTTO , dans Alternatives économiques hors série, numéro 95, Publié en 01/2013,  (professeure au CNAM, vice-présidente du think tank Notre Europe) ‘’ Les balbutiements de la puissance ‘’                                                                                                    

8. Article de Patricia Jolly, dans le journal LE MONDE, https://www.lemonde.fr .   Publié le 09 août 2018 à 11h14 , ‘’L’UE cherche à renforcer son dispositif d’aide lors des catastrophes naturelles’’                                                                                                                          https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/08/09/l-ue-cherche-a-renforcer-son-dispositif-d-aide-lors-des-catastrophes-naturelles_5340798_3244.html   

9.  Article de  Simon Auffret , dans le journal LE MONDE, https://www.lemonde.fr.         Publié le 18/10/2018. ‘’ Séisme en Indonésie: Comment les secours français vont aider les victimes’’                                                                                                                                                     https://www.lemonde.fr/international/article/2018/10/02/indonesie-les-secours-francais-en-pointe-de-la-recherche-des-victimes_5363562_3210.html

10. Ecrit par Thierry Coosemans  https://www.cairn.info,                                                    »B-FAST et l’aide d’urgence à l’étranger ».                                                                                   Courrier hebdomadaire du CRISP 2015/32 (n° 2277)                                                                  https://www.cairn.info/revue-courrier-hebdomadaire-du-crisp-2015-32.htm                                                              

 AFP*: Agence France-Presse                                                                                                    

 

              Camille LE BLÉ    

 

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