l’alimentation citadine et son avenir

Avec l’effet de la mondialisation, de la crise, de l’augmentation démographique, l’urbanisation et le développement de la recherche, on peut remarquer une évolution continue de notre consommation alimentaire. On se penchera sur le tournant de notre alimentation, plus précisément en ville. Pour cela nous étudierons d’abord les prévisions alimentaires au niveau mondial, puis nous nous concentrerons les enjeux de la publicité. Et nous terminerons avec un type de produit en nette expansion dans notre société: les alicaments.

I/ Que pouvons nous prévoir sur notre alimentation future.

Notre société a un choix alimentaire très varié, par le fait de sa grande mondialisation, de la crise qui la touche, des mélanges de culture et de classes sociales. Pour y voir plus claire dans ce qu’est notre façon de nous alimenter et son avenir. Nous allons montrer quelques prévisions au niveau mondial. Le premier de ces scénarios est appelé  « tendanciel », car bien que l’on voit un changement du mode de vie, un vieillissement de la population, un éloignement entre le domicile et l’emploi des citoyens, on voit aussi une faible croissance économique.Nous avons tendance à garder nos habitudes alimentaires en préférant la restauration rapide.Cela entraîne une augmentation de l’alimentation des produits sucres, de la mer et de viande blanche, au détriment des pommes de terre et de la viande rouge et du beurre. Ce scénario ne change pas réellement nos tendances alimentaires, mais surtout dans la préparation de nos plats, c’est à dire vers une préparation rapide de la nourriture.Le deuxième scénario qui nous est proposé est un scénario qui nous pousse à nous mettre au niveau des états unis. Ce scénario entraîne une consommation à deux vitesses :l une par l augmentation de sandwicherie et de fast food causer par la distance entre le logement et le travail et un essor des restaurations haute gamme qui ne sont accessibles qu’à une faible partie de la population.Vient ensuite le scénario « type nordique » où les européens prennent conscience sensiblement de l’augmentation des cas d’obésité et cherchent à les diminuer à tout prix, et mettent donc en place des mesures importantes de prévention contre l’obésité et rééquilibre les budgets de la société. Ce qui a pour incidence d’augmenter la nourriture à base des produits de la mer en diminuant leur prix d’achat.En contrepartie des charcuteries et du beurre qui voient un net frein à leur consommation. Enfin le dernier scénario qui nous est proposé est un scénario de crise où sous la pression de la mondialisation, l’Europe engage des réformes de ses gouvernements qui vont accentuer les inégalités économiques de leur nation. Ce qui entraîne aussi une nette inégalité dans la consommation et son déséquilibre alimentaire, même chez les classes aisées qui, bien que leur consommation est plus importante, elle reste inférieure à leurs revenus, en privilégient la préparation et la qualité. On voit alors une augmentation énorme de la consommation de produits sucrés et à base d’huile au détriment des viande et du fromage qui est complètement rejeté part la plus grande partie de la population.

II/La toute puissance de la publicité et c’est limite

Dans une société où la consommation règne, la publicité joue un grand rôle dans le choix des consommateurs. Pour cela les entreprises agroalimentaires cherchent à attirer les consommateurs grâce à des publicités récurrentes et attractives. Mais celles-ci ne se limitent plus qu’à ces moyennes. Elles ont mis en place des publicités drôles et amusantes pour vendre leurs produits et se démarquer de leurs concurrents, par exemple les marques de biscuits apéritifs ou pour enfant de 4 à 8 ans. Celle ci engendre aussi une effet de mode de certain utilitaire, par l’Américanisation de leur publique, en vantant certains types de restauration « sur le pousse ».On peut aussi remarquer certain message préventif par certaines enseignes d’industrie alimentaire, pour que les consommateur aient une nourriture plus variée et plus saine, en lui faisant acheter le produit. Ils mettent aussi en place, depuis quelques années, des publicités vantant les biens faits de certaines de leurs fabrications, comme ceux à base d’Oméga 3 ou au bifidus.

III/ entrez en scène des alicaments

Depuis plusieurs années, la recherche dans l’alimentaire est de plus en plus pertinente. Nous sommes passé de produits frais à des produits avec plus grande conservation (poudres, conserves, produits sous-vide,…) et actuellement nous voyons entrer sur le marché un nouveau type de produit les alicaments ou « Cosmetofood ». Ces produits sont des aliments présentant certaines propriétés parapharmaceutique et des éléments de prévention de certaines maladies graves. Ces produits ont connu une apparition soudaine et un engouement soudain de la population pour se style de produit, et les fabricants ont compris cela.Durant une période, on cherche à se démarquer en proposant de plus en plus bien fait sur l’organisme sans pouvoir prouver leur affirmation. Pour corriger leurs déviances, l’Union Européenne, le 16 mai 2012 la réglementation N°432/2012 est mis en place pour vérifier et prouver les biens fondés et limiter les duperie des affirmations des entreprises, pour permettre aux consommateurs de ne plus se faire tromper par des groupes ne cherchant qu’à se démarquer pour gagner plus.

Dans un monde où règne publicité ,consommation en abondance, problèmes d’argents,de santé et modèles nutritionnels en tous genres, plus personne ne sait différencier maintenant ,ce qui est vital et ce qui est superficiel.Des hypothèses émises, des progrès scientifiques, tout avance et évolue sans cesse.Aujourd’hui, c’est à nous de savoir ce qui peut être le mieux pour nous.

Jonathan Godefroy

Elena Martin

Bibliographie:

Branger,Alain/ Richer,Marie-Madeleine/Roustel,Sebastien Alimetation et processus technologiques, en 2007. 100p, 96-98p, 66p, 52p,43p.

 François. Chambre d’agriculture Normandie disponible sur:http://www.normandie.chambagri.fr/2020/etude.htm

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Chauvin Sophie, Le Nechet Raynald2020:que mangerons-nous?Chambre d’agriculture Normandie mise a jour 11 juillet 2006. disponible sur:http://www.normandie.chambagri.fr/2020/documents/C03.pdf

Legrain Philippe2020:que mangerons-nous?Chambre d’agriculture Normandie mise a jour 11 juillet 2006. disponible sur:  http://www.normandie.chambagri.fr/2020/documents/C04.pdf

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