Peut-on voyager à travers le temps ?

Depuis de nombreuses années, des chercheurs ont essayé de comprendre s’il était possible de voyager à travers le temps. Mais depuis une récente découverte faite par des chinois, nous avons appris qu’il est impossible de retourner dans le passé ou encore voyager dans le futur. Le seul moyen qui permet de revoir cette nostalgie est de visiter des musées, ou encore toute sorte de sites archéologiques et historique. Ces sites, qui font partie de notre patrimoine, ont une grande richesse historique. Il est donc nécessaire de les préservés et de montrer qu’ils ont de la valeur. Les voyages dans le temps peuvent être réalisés dans les films de fiction mais ne seront jamais réels.

Dans une première partie nous expliquerons l’impossibilité de voyager dans le temps, dans un deuxième temps nous parlerons de la présence du voyage dans le temps dans les films de fiction, puis dans un dernier lieu nous aborderons la possibilité de voyager à travers le temps grâce à la grande richesse de notre patrimoine historique. 

 

Les voyages dans le temps est impossible selon des scientifiques

Comme le montre l’article de presse d’Anne Demoulin, publié dans le journal national l’Express, le 28 Juillet 2011, des physiciens, de l’université de science et de technologie de Hong-Kong (HKUST) ont démontré que le voyage dans le temps, tel que décrit dans Retour vers le futur,  est impossible. L’équipe du professeur Shengwang Du s’est intéressée à la particule qui compose la lumière, le photon. Dans Retour vers le futur, Emmett Brown, fabrique une machine à remonter le temps, une DeLorean dopée qui permet d’atteindre une vitesse supérieure à celle de la lumière. Du point de vue scientifique, ce scénario repose sur un phénomène optique, la vitesse supraluminique, décrit pour la première fois en 1907 par Arnold Sommerfeld.

La DeLorean de Retour vers le futur

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Le nomadisme mongol aujourd’hui

Dans le cadre de l’étude du projet socioculturel de l’année 2012-2014 des BTSA, il nous a été proposé de travailler sur le thème « Partir-Venir: voyage, mobilité, migration ». Nous avons choisi de parler du nomadisme. En effet, de nombreuses questions se posent lorsque nous en parlons , afin d’éclaircir au mieux nos pensées, nous nous appuierons sur un documentaire « Rendez-vous en Terre Inconnue », sur des livres et sur d’autres documents.

La Mongolie, l’empire des steppes avec ses paysages infinis, ses tribus nomades, une terre de mystère ou la nature demeure l’homme.Pourtant, derrière les images médiatisées se profile une réalité plus mélancolique avec une majorité de mongols vivant dans les villes et leurs environs, faute des situations politique, climatique, …On se demande aujourd’hui si : Le nomadisme Mongol a-t-il encore un avenir ? Car en quittant la steppe pour se sédentariser, les Mongols ont perdu une partie de leur identité culturelle.

 Pour commencer, nous allons partir de l’histoire des peuples Mongol basé sur le nomadisme, l’élevage, les traditions et toute autre culture qui a fait avancer ces peuples pendant plusieurs années.

Puis, arrive le régime communiste dans les années 1920, qui force les peuples Mongols à la sédentarisation pour instaurer une société réorganisée, selon les principes de collectivisme et de la domination du parti unique. Puis en 1996, une chute de l’URSS entraine des milliers de Mongols au chômage.

Pour finir, on parlera de la diversification des steppes au surpâturage dus à une production de cachemire élevé qui  engendrera des pertes dans l’économie du marché en Mongolie ainsi qu’une faillite dans les services publics.

Histoire du nomadisme en Mongolie

Qu’est ce que le nomadisme? Le nomadisme est un mode de vie qui est basé sur le déplacement, on peut parler aussi d’un mode de peuplement. En effet, ce déplacement s’effectue en masse, c’est à dire qu’il se fait par groupe d’individu. Continuer la lecture

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L’exode rural ,intra-régional en Afrique

L’exode rural ,est le déplacement de population des zones rurales vers les zones urbaines.En ce qui concerne ,l’exode rural intra-régional en Afrique ,c’est le déplacement d’une région à une autre région.Actullement,le phénomène ,d’exode rural est un phénomène qui touche principalement les pays en voie de développement.L’Afrique est l’un des continents qui connaît l’urbanisation la plus importante. Cependant l’exode rural intra-régional en Afrique serait-elle source d’appauvrissement ou de développement en Afrique?Dans une première partie ,nous verrons que l’exode rural est une source d’appauvrissement en Afrique ,puis dans un second temps nous verrons que l’exode rural est une source de développement et pour finir nous verrons que parfois elle constitut un moyen de surpopulation en Afrique.

L’exode rural est une source d’appauvrissement:

La vie rurale provoque, par ses insuffisances, un phénomène de rejet, c’est à dire,les activités agricoles sont peu prometteuses et peu valorisantes, les loisirs relativement réduits. A l’inverse, la ville, qui semble intéressante, attire les jeunes, en particulier les jeunes hommes. Mais comme l’attraction de la ville ne correspond pas à un appel de main-d’œuvre dans le secteur industriel ou du tertiaire, il en résulte un chômage urbain croissant, c’est dans ce sens que   Max Kupelesa Ilunga,psychologue d’éducation affirme dans son webmaster que: »la lumière attire, quelle qu’elle soit, les villes ne cessent d’attirer, les unes au détriment des autres. Ainsi, les villes africaines se trouvent inondées de jeunes ruraux qui n’ont parfois même pas où loger ni de quoi manger ».  De plus, cette augmentation de populations vers les villes entraîne un certain nombre de problèmes, parmi lesquels la pénurie de logements. L’expansion des métropoles a donc provoqué la dégradation de certains quartiers et la prolifération des bidonvilles où sévit l’absence d’équipements collectifs.Des études dans un  articles du:Mouvement pour une Organisation Mondiale de l’Agriculture  sur l’exode rural  nous montre qu’en Afrique,ou dans les pays en voie de développement ,l’exode rural témoigne d’un affaiblissement de l’agriculture face à des causes économiques et environnementales. Il concerne directement près de 480 millions de personnes et en menace près d’un milliard d’individus à travers le monde ;  3.6 milliards d’hectares de terres arides sont touchées par la désertification et chaque année (la surface agricole avoisine les 180 millions d’hectares), près de 10 millions d’hectares supplémentaires sont dégradés ; > 50 milliards de dollars sont perdus chaque année (perte de récolte en équivalent céréales) du fait de la dégradation des terres. Le commerce international de produits agricoles (importations et exportations confondues) a atteint 135 milliards de dollars en 2005. L’essentiel des pertes est concentré dans les pays en voie de developpement où l’élevage et les activités agricoles occupent une place prépondérante.En outre l’économie de certains pays sont touchés par cet exode ,car le chômage devenu considérable ,l’Etat n’arrive plus à investir dans certais pays

L’exode rural ,source d’enrichissement

Sur le plan économique l’exode rural affaibli l »économie mais sur le plan urbain ,elle favorise une augmentation massive de la population,une croissance démographique très importante .Des  étude dans l’article du:Mouvement pour une Organisation Mondiale de l’Agriculture  sur l’exode rural montre que cela entraine ,une émergences,mégapoles.Par exemple, la ville de Lagos au Nigeria devrait dépasser les 17 millions d’habitants en 2015, alors qu’elle n’accueillait que 288 000 personnes en 1950. Dans le même temps, la population de Bombay (Inde) devrait être multipliée par 10 (22,6 millions contre 2,3 millions). De plus un document d’étude sur l’urbanisation en afrique fait par la FAO ,nous montre que:la concentration d’hommes,dans la grande ville est aussi une concentration des moyens de production de biens et de service. Les besoins des citadins génèrent de multiples emplois de production et de services. Certaines villes comme Maputo, Nairobi ou Conakry ont connu ces dernières années une croissance particulièrement rapide. Certes, avec la crise, de nombreuses agglomérations ont vu leur croissance se ralentir, mais la plupart des grandes capitales croissent encore au rythme d’environ quatre pour cent par an, ce qui signifie un doublement de leur population en 17 ans. La croissance démographique naturelle (naissances et décès) contribue plus que les migrations. Jusqu’à présent, il a été fort difficile de réorienter les flux migratoires vers les villes secondaires.Ainsi voici un tableau présenté par la FAO

Tableau : Répartition en pourcentage de la population urbaine selon la taille des villes et le taux d’urbanisation en 1995.

Région

Taille (en millions) 

Plus de 5

1 à 5

0,5 à 1

Moins de 0,5

Taux d’urbanisation

Afrique de l’Est

22

13

65

21,7

Afrique centrale

36

12

52

33,2

Afrique de l’Ouest

13

14

10

63

36,6

Maghreb

13

30

5

52

45,9

Afrique australe

35

11

54

36,6

AFRIQUE

8

24

10

58

34,4

ASIE

19

19

9

55

34,6

AMÉRIQUE LATINE

20

18

10

52

74,2

AMÉRIQUE DU NORD

16

35

11

38

76,3

EUROPE

7

20

9

64

73,6

MONDE

15

21

9

55

45,2

L’essentiel de la population urbaine africaine réside dans des villes de moins de 500 000 habitants. Mais les villes millionnaires attirent une part croissante de la population. En 1995,36 pour cent de la population urbaine mondiale vit dans des villes de plus de un million d’habitants, particulièrement en Amérique du Nord (51 pour cent) et en Amérique latine (38 pour cent). Bien que le phénomène soit plus récent en Afrique, il est déjà très accusé, puisque cette proportion est de 32 pour cent en 1995, et atteindra probablement 39 pour cent en 2010. Cette concentration est particulièrement marquée en Afrique du Nord.

Un autre article sur l’exode rural fait par spore ,un périodique montre que:

Dans les métropoles qui ont grandi démesurément, le chômage est endémique et la situation d’une partie de la population catastrophique. Alors que, selon une récente étude de la Banque mondiale, « l’agriculture est sans surprise l’un des secteurs les plus prometteurs pour l’emploi des jeunes », « l’offre de travail destinée aux jeunes n’augmentera pas si l’économie rurale ne devient pas dynamique ».
Les petites entreprises familiales en zones rurales agricoles ou non agricoles sont une mine d’emplois pour les jeunes. L’intensification de la production, que l’octroi de crédits et la mise à disposition d’intrants peuvent favoriser, demande aussi une main-d’œuvre importante. L’artisanat, le bâtiment, la mécanique et le commerce des intrants sont autant d’activités qui peuvent faire vivre les familles dans les campagnes et absorber au moins une bonne partie de l’essor. Cette pluriactivité offre des possibilités d’emploi aux jeunes actifs pour se construire un avenir en zone rurale. Aux Caraïbes, où l’émigration lointaine est courante, on mise sur l’agrotourisme, une autre source de revenus attrayante, pour maintenir les agriculteurs dans les campagnes.

Améliorer l’irrigation, les infrastructures – en particulier les routes pour avoir accès au marché – et les équipements des villages sont des investissements nécessaires pour favoriser le développement rural et stimuler l’emploi. « Le bien-être en milieu rural » est un défi majeur du développement, résument les Objectifs du millénaire.

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Quels sont les enjeux de la conquête spatial?

         L’homme étant depuis toujours fasciner par le ciel et d’après le thème « partir-venir : voyage, mobilité, migration », nous avons jugé intéressant de se pencher sur la conquête spatial. C’est pour cela que nous avons choisi de savoir pourquoi les Hommes veulent quitter la Terre à la conquête de l’espace. Tout d’abord nous allons étudier les besoins de l’Homme, c’est-à-dire en quoi, l’Homme est « obligé » de conquérir l’espace. Ensuite la valorisation des explorateurs, qu’est ce que les explorateurs ont à gagner dans ce voyage et pour finir les découvertes actuelles.

1)Les besoins de l’Homme:

         Pour commencer, les réseaux de communication sont omniprésents dans notre vie de tous les jours comme par exemple les réseaux téléphonique, les GPS (Géo localisation Par Satellite) ou encore les réseaux internet. Toute cette technologie nécessite par conséquent d’être gérée et diffusée dans le monde entier, or tout ceci est géré par des satellites donc de l’espace. La surveillance de l’espace est aussi une capacité à ne pas négligé car il est fondamental de savoir ce qui peut graviter autour de notre planète. Cela implique que les satellites ont besoin d’une surveillance pour prévenir d’éventuelles menaces, mais aussi des débris pour prévenir d’éventuel retombé issu de l’espace. La radionavigation comme GLONASS (Global Navigation Satellit System) Russe, et le GPS (Global Positioning System) par satellite prend de plus en plus d’ampleur dans les applications vitales au fonctionnement de la société.  Cette technologie est principalement utilisée par les militaires notamment pour synchroniser les réseaux de communications, et de réduire le nombre de munitions nécessaire pour éliminer un objectif. Le contrôleur de  cette technologie a une influence énorme sur les utilisateurs.       

         Par la suite, il faut savoir aussi que les ressources de notre chère planète s’épuisent. Depuis quelques années nous exploitons intensément certaines ressources comme par exemple le pétrole, ou encore tout naturellement la nourriture. Eh oui à nos jours, nous avons atteints les 7 milliards d’Homme sur Terre, et ceci peux susciter quelques interrogations. Allons-nous pouvoir nourrir toute la population Terrienne ? Si oui, pendant combien de temps ? Ces questions ne sont pas à prendre à la légère, c’est pour cela que les chercheurs doivent envisager des solutions à ces interrogations. Actuellement, nous pouvons qualifier l’eau comme l’or bleue sachant que 800 millions de personne n’ont pas accès à l’eau (soit environ 11% de la population mondiale) En plus de sa rareté, celle-ci subit d’importante pollution à cause d’entreprises frauduleuses rejetant leurs effluents dans les rivières voisinent, et naturellement les océans. Les répercutions de ces activités sur l’écosystème sont des plus dramatiques. Les faunes et la flore souffrent de la pollution, donc cela va engendrer d’importante décimations d’espèces, donc les réserves de nourriture s’épuisent d’autant plus, alors que la population ne cesse d’augmenter. Et encore par-dessus tout ça, les réserves de minerais subissent d’importantes exploitations et vont-elles aussi surement manquer, comme par exemple le charbon dans le passé, et actuellement le cuivre. Or sachant que les métaux sont utilisés dans toutes les nouvelles technologies (téléphones portables, ordinateurs…) nous devons nous préoccuper des quantités disponibles sur Terre, et chercher à pouvoir les remplacer au plus vite. C’est pour cela que les scientifiques se doivent de trouver des ressources nouvelles pour pouvoir les remplacer.

         Pour finir, abordons un autre problème envisageable : Pour combien de temps les surfaces habitables bien entendu, suffiront elles à héberger tout les habitants ? Nous pourrions nous dire que ça surface serait largement suffisante pour des décennies, mais sachant que la Terre est couvert à 71% d’eau salés, c’est-à-dire des océans. Or les 29% restant ne sont pas en totalité habitable car 30% sont couvert d’espace vert. L’idée d’une déforestation planétaire peut paraitre une solution, mais ceci aurait comme conséquences d’accentuer le réchauffement climatique, c’est-à-dire la perte de nombreuses espèces animales, et de l’humanité par la même occasion. En raison de toutes les interrogations vu précédemment, la conquête de l’espace est une clef aux solutions de tout  ces problèmes, en essayant évidement de trouver au meilleur du possible une planète pouvant être habitable et par la même occasion, de trouver de nouvelles ressources à exploiter, pour subvenir aux futurs manques occasionnés par l’exploitation abusive de l’Homme aux richesses de notre planète.

        2) La valorisation des explorateurs: 

            Pour commencer nous penserons majoritairement aux états unis pour le développement et la conquête spatiale, mais d’autres pays cherchent et avance fortement dans cette débouchée d’avenir. Le cas de l’Afrique est très intéressant car étant un pays émergeant il n’en reste pas moins une puissance économique et forte en ressource humaine tant en savoir qu’en main d’œuvre. Les progrès effectués ces dernières années ont fait dire à une sommité comme Berndt Feuerbacher, directeur de la Fédération Internationale d’astronautique (FIA) : « Des perspectives alléchantes émergent pour l’espace en Afrique ».Des chercheurs comme Cheikh Modibo Diarra qui, après son passage avec succès à la NASA, contribue fortement au développement de centres de recherches à travers sa fondation Pathfinder pour l’éducation et le développement.

         Par la suite les puissances économiques ont atteins leur apogée notamment le cas des Etats unis et de la Russie qui se sont lancer une « course à l’espace » acharnée et s’imposer en superpuissance. Barack Obama, en octobre 2010 fit mettre la navette Atlantis à la retraite et mit fin au programme lunaire constellation, Mais la conquête spatiale ne s ‘est pas arrêté la Chine malgré sa place de pays émergeant a atteint une forte croissance économique lui permettant de se tourner vers le ciel et ainsi être un pays reconnu mondialement comme étant comme technologiquement développé.

         Pour en venir sur le point de vue technologique l’humanité a tout à y gagner, plusieurs découvertes majeures sont due à la recherche spatiale. En médical notamment la création d’une pompe à insuline, en aéronautiques grâce à la création de revêtement super isolantes capables de protéger de températures qui dépasse les 8000 C°… Mais les grandes avancées ont permis de grandes découvertes notamment, grâce aux périples de Curiosity sur Mars, et pour cela les pays du monde entier travaillent main dans la main en un but commun.

 3)Les découvertes actuelles:

         Maintenant étudions les récentes découvertes lié à la conquête de l’espace. Pour commencer, le Robot Curiosity envoyé début Juillet a fait une découverte étonnante, comme la présence de roche Volcanique que l’on retrouve par exemple à Hawaii ou autre zone volcanique. Cela est encourageant car cela prouve qu’il y a bien une activité géologique dans les sous sols de la planète rouge. Le robot semble avoir découvert très récemment, des traces d’eau liquide, mais la NASA reste prudente pour l’instant sur cette découverte.

          Ensuite, la NASA aurait découvert des bactéries sur Mars, mais pas une bactérie comme les autres. Une scientifique de la Nasa, Felisa Wolfe Simon, à annoncé la découverte d’une bactérie dont l’ADN est complètement différent de ce que nous connaissions jusqu’à présent. Car cette bactérie a utilisé de l’arsenic pour remplacer l’absence de phosphore. Ceci est d’autant plus exceptionnel dans le sens ou l’on croyait que il ne pouvait avoir de vie sans les 6 éléments de la base de la vie (C ; H ; O ; N ; P ; S) or elle a réussi à se développer en absence de phosphore, pour le remplace par de l’arsenic.

       Pour finir, ElonMusk (fondateur de la société spatiale SpaceX), a pour projet de conquérir Mars, en constituant une colonie Martienne de 80 000 pionniers coûtant (500 000$ par personne) Les explorateurs auront à bord de leurs vaisseaux (élaboré à partir de la capsule dragon), des ressources pour pouvoirs fertilisé Mars (engrais) et des machines productrices d’oxygène. Mais aussi Mars one se transforme en société à but non lucratif dans le but d’amener l’humanité sur Mars. Cette mission débutera 2016 jusqu’en 2022 en envoyant des robots, des vivres et des modules habitables. Seulement 4 astronautes seront choisi sur toutes les candidatures présentés sur le projet, et 4 seront envoyés tous les 2 ans jusqu’en 2033. Le projet serait financé par la diffusion de tous les faits et gestes des explorateurs de la planète rouge.

Finalement que se soit de l’ordre des astrologues ou de la science fiction, le rêve d’autres mondes a toujours enrichit les rêveurs d’espoirs d’autres horizons leurs idées peuvent paraître absurdes mais :

« Si l’idée n‘est pas à priori absurde, elle est sans espoir »

Albert Einstein

                PIZKO Enguerrand – THIEBAUD Florian

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Les catastrophes naturelles et leurs impacts sur les populations migrantes

Qu’advient-il des populations migrantes touchées par les catastrophes naturelles?

         Les migrations liées à l’environnement sont loin d’être un phénomène nouveau : depuis l’Antiquité, de nombreux récits de catastrophes naturelles relatent déplacements, exodes et évacuations. Des désastres comme le tremblement de terre qui détruisit Lisbonne en 1755, ou le grand incendie qui ravagea Londres en 1666, produirent d’importants flux de réfugiés.

Dans cet article, nous allons tout d’abord parler des destinations des migrants, pour ensuite aborder le sujet de l’obligation de quitter des lieux atteins par des catastrophes naturelles, et enfin, nous nous demanderons comment évoluent les migrants après avoir quitté leurs pays.

Enfin, nous conclurons en répondant à la problématique suivante, qu’advient-il des populations touchées par les catastrophes naturelles ?

Tout d’abord, nous allons nous intéresser aux destinations les plus visées par les éco réfugiés [1]

         D’après les Nations Unies, 191 millions de personnes vivaient en dehors de leur pays de naissance en 2005, soit 3% de la population mondiale. Ils se sont déplacés comme indiqués ici : 62 millions de personnes de pays pauvres vers des pays riches ; 61 millions de personnes de pays pauvres vers des pays pauvres ; 53 millions de personnes de pays riches vers des pays riches ; 14 millions de personnes de pays riches vers des pays pauvres. 64 millions vivent en Europe, ce qui représente 8,8% de la population européenne ; 53 millions vivent en Asie, représentant 1,4% de la population asiatique ; 45 millions vivent aux Etats-Unis, représentant 13,5% de la population étasunienne.

Ensuite, nous allons nous demander si les populations touchées doivent quitter les lieux atteins.

         La plupart du temps, les catastrophes naturelles détruisent tout, ou presque tout sur leur passage. Prenons comme exemple L’Amérique centrale qui a vécu le passage de nombreux ouragans comme « Mitch » qui a atteint le Nicaragua et le Honduras en 1998 et « Stan » qui a frappé le Mexique et le Guatemala en 2005. Ces aléas climatiques peuvent également engendrer des épisodes d’inondations : en septembre 2010, l’ouragan « Karl » a atteint les côtes mexicaines et les pluies qu’il a engendrées ont provoqué d’importantes inondations dans la région de Veracruz.

Dans ces cas-là, les habitations, les services hospitaliers et autres bâtiments sont complètement détruits, il est donc impossible pour les habitants de rester dans leurs pays. Ils se voient obligés de quitter les lieux atteins.

Mais d’un autre côté, certains pays subissent des catastrophes naturelles moins importantes comme la France il y a quelques années, qui a subi une inondation. Dans ces cas-là, les habitants ne sont pas obligés de quitter leurs pays.

Les réfugiés écologiques trouvent, certes, un pays d’accueil, mais, que font-ils dès lors qu’ils sont intégrés à ce pays ?

         Ce qui attire le plus souvent un réfugié dans un pays étranger est le travail ou les services, la meilleure qualité de vie,  les bonnes réserves de nourriture, un meilleur climat et une terre fertile, moins de risque de catastrophes naturelles, la richesse, et la sécurité politique. Mais le plus souvent, les migrants sont là pour combler le manque de personnel dans les emplois 3D[2] et les moins payés. En période de stagnation économique, les migrants sont souvent les premiers à subir les licenciements, étant donné qu’ils travaillent souvent dans les emplois les moins stables (emplois à durée déterminée, les emplois en intérim ou les emplois à mi-temps).

Pour conclure,

         Nous pouvons rappeler que la plupart du temps, les réfugiés écologiques fuient leurs pays vers d’autres pays avec un avenir meilleur. Mais, le plus souvent, ils sont déçus de ce qu’ils trouvent dans ces pays tant convoités.

Les migrants sont souvent sous-estimés et traités comme des esclaves n’ayant pas les mêmes droits que les autochtones. Une question se pose alors… Si les pays accueillant les réfugiés écologiques continuent à les traiter ainsi, les migrants vont-ils continuer à migrer ? Vont-ils continuer à considérer ces pays accueillant comme des pays ayant un avenir meilleur ? Et ne vont-ils pas rester dans leurs pays au risque de supporter de nouvelles catastrophes naturelles pouvant les nuire ?


[1] Eco réfugiés : Personnes contraintes à migrer à cause de changements climatiques (réchauffement climatique, érosion des sols, …) ou biogéographiques de leur région (désertification, déforestation, …).

[2] Emplois 3D : Difficiles, dangereux et sales.

Article rédigé par Benjamin Ulmer et Varvara Popescu.

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